Le business Bardot

Article sur le site de l'Express : Le business Bardot "La liberté et le goût du risque vestimentaire de cette "précurseuse"continuent d'inspirer les créateurs. Démonstration en six tendances dela saison."

C'est vrai que depuis un an on dirait que les gens et les marques se sont souvenus de son existence

le même site propose d'autres articles sur BB, comme celui là:

Citation :

BB : ses tops et ses flops

Unique icône française internationale, adulée ou détestée, BB aura régné sans partage sur une France qui s'extirpait avec peine de son conformisme.Pour autant, le chemin de l'idole qui aura fait du B la lettre la plus sexy au monde, n'aura pas été sans à coups.

Ses tops :

• Et dieu... créa la femme de Roger Vadim :
  

• En cas de malheur de Claude Autant-Lara :
  

Elle y tient tête à Gabin (quand même) et y montre son séant. Une première dans l'univers guindé du cinéma français de l'époque !

• Le style « BB » :
  

Outrageusement belle et désirable, il n'en faut pas plus pour que l'ex mannequin devenue actrice devienne icône de la mode (choucroute déstructurée, regard charbonneux, robe en tissu vichy en ballerine Cendrillon Repetto ou cuissarde), son style est repris par des milliers de femmes, jusqu'à aujourd'hui.

• Viva Maria de Louis Malle :
  

Le réalisateur invente pour elle et Jeanne Moreau le premier buddy movie féminin.

• Une voix à la limite de la justesse, mais terriblement sexy :
  

Muse et chanteuse de nombreux artistes dont Serge Gainsbourg en 67 qui lui écrit ses plus grandes chansons : de Harley Davidson, à Bonnie & Clyde en passant par l'iconique Je t'aime... moi non plus.

• Marianne :
  

Aussi sulfureuse soit-elle, BB n'en est pas moins icône. Quoi de plus normal qu'cette année 1968, le président De Gaule [note de ma part : apprenez à écrire DE GAULLE avec deux L bon sang de bonsoir!] la choisit pour être le visage même de la Frââânce dans toutes les mairies de l'Hexagone.

• La défense des bébés phoques :
  

Alors qu'elle a mis un terme à sa carrière cinématographique depuisprès de 4 ans, Brigitte Bardot pose en 1977, allongée sur la banquise,pour protester contre le massacre des petits phocidés. Elle ouvrira la fondation Brigitte Bardot, pour la protection de tous nos amis à plume ou à poils, 11 ans plus tard, sur ses fonds propres.

Ses flops :

• La défense des bébés phoques :
  

L'icône révèle une misanthropie exacerbée, souvent accompagnée d'un franc-parler naïf qui décrédibilise son combat et, au-delà, son personnage même.

• Ses sérieux dérapages verbaux :
  

Comme ses déclarations concernant la barbarie l'Aïd el-kebir et dusacrifice des moutons (elle est condamnée à 15 000 euros d'amende pourincitation à la haine raciale pour avoir fait l'amalgame entre terroristes islamiques et l'ensemble des musulmans), mais aussi sa condamnation de la Gay Pride ou des sans-papiers.

• La vérité d'Henri-Georges Clouzot :
  

Celle qui revendique « ne pas être comédienne pour un rond » tente de mettre fin à ses jours à la suite du tournage de ce film à procès où elle campait une jeune femme accusée du meurtre de son ancien amant.Belle, iconique et dépressive.

Mouaais

moué c'est parfois un peu exagéré! notamment sur les flops! mais merci Masha c'est tres interessant!

Oui je trouve aussi, y'a pas trop de logique en plus

Merci, Masha. Tu sais me dire quel est l'année de cet article?

Merci Masha j'ai bien aimé le premier article !
Le second, je l'avais deja lu et, comme toi, je n'ai pu m'empecher de : " " !
Ils auraient pu s'abstenir de mettre les bebes phoques dans "flop", en y ajoutant en plus la mention "debut de sa misanthropie". Un grand connaisseur du cas Bardot apparemment, ce journaliste...
Faut savoir qu'à l'époque, quand elle s'est rendue au Canada, c'est la presse qui l'a maltraitée, s'est moqué d'elle et de son combat (alors qu'elle n'avait tenu aucun propos contre personne) en faisant comprendre qu'il n'y avait qu'une chose à attendre: qu'elle cesse avec son caprice ridicule pour revenir au cinéma, une fois qu'elle aura bien fait parler d'elle...
Ensuite, le "Belle, iconique et dépressive." m'a agacée. Même critique: est ce qu'il s'est penché sur la vie de BB à ce moment là pour savoir pourquoi, malgré son statut de superstar, elle a essayé de se donner la mort (ce qui n'est, encore une fois, pas un acte qu'on commet par pure fantaisie) ?

Tu prêches une convaincue, c'est n'importe quoi, ce n'est pas du vrai journalisme on dirait que ça a été écrit en 20 minutes sans recherches approfondies. De toute manière c'est souvent le cas quand les gens parlent de BB, aujourd'hui je me suis encore disputée avec quelqu'un qui me sort "Mais comment on peut aimer cette femme, elle est d'extrême droite, elle aime pas les humains, elle est extrémiste..." et tout le tralala. Maintenant j'ai même plus envie de répondre, ça me lasse.

verabeto a écrit:

Merci, Masha. Tu sais me dire quel est l'année de cet article?

Je pense de cette année, ou 2009, en tout cas c'est récent je pense!


Sinon pour revenir au 1er article, je lis souvent cette anecdote sur les rideaux en vichy, que BB a démentie, je me demande d'où cette rumeur est partie!

Masha a écrit:

Tu prêches une convaincue,

Je sais bien, mais je pense qu'il faut remettre les choses dans leur contexte ici, puisque malheureusement je ne peux pas modifier l'article lui-même.
Si ca peut éclairer certaines personnes ! Sait-on jamais...

Masha a écrit:

aujourd'hui je me suis encore disputée avec quelqu'un qui me sort "Mais comment on peut aimer cette femme, elle est d'extrême droite, elle aime pas les humains, elle est extrémiste..." et tout le tralala. Maintenant j'ai même plus envie de répondre, ça me lasse.

Recemment, j'ai lu sur le net que Elvis était raciste...
Je sais, ça n'a rien à voir au premier abord avec BB, mais c'est connu que les gens ont besoin de décrédibiliser ce qu'ils ne connaissent pas. BB a eu des propos provocateurs, Elvis aussi apparemment puisqu'ils le citent: "La seule chose que les noirs peuvent m'apporter c'est cirer mes chaussures." Je ne suis pas fan d'Elvis, du coup je demande un lien avant d'y croire. Si c'est vrai, je me dis qu'il y là, comme avec Brigitte, une phrase lancée comme une pique pour une raison bien precise. Peut etre à cause de ceux qui l'accusaient de leur voler leur musique, ca serait donc une provocation à l'encontre directe des artistes noirs et non du peuple noir, avec qui il a grandi je crois (c'est ce que j'ai entendu !)... Vous savez, comme les rappeurs americains entre eux aujourd'hui; la "west coast" et la "east coast"...
Bref, je part loin là... je reviens maintenant ! ^^

Oui on sait jamais il y a plein "d'invités", de gens non enregistrés qui passent par là alors ce n'est pas inutile

Je n'avais jamais entendu ça à propos d'Elvis et ça m'étonne, en effet il vient du Mississippi où il y a une forte population afro américaine qu'il a côtoyé toute son enfance. Mais bon il faut prendre ça avec des pincettes, déjà vérifier la véracité puis comme tu le dis voir si c'est un propos isolé, une pique, le remettre dans le contexte, etc.