hommage

ah chui contente que vous l'aimiez!!!

magnifique viéo

Que dire de plus ?? et encore !!

SUPERBE !!!!!!!!!
Merci

Géniale Lisa !

Alain Delon interview :

Vous souvenez-vous de votre première rencontre avec Brigitte ?
J'avais entendu parler de Brigitte Bardot bien avant de faire du cinéma, évidemment. Ma première rencontre avec elle date du jour où j'ai fait, à la demande du magazine Cinémonde, une série de photos sur le thème des plus beaux baisers du cinéma. J'avais reçu, comme un honneur, la proposition de travailler avec elle et le photographe Sam Lévin. Et ce devait être en 1958-1959, je ne me souviens pas de l'année exacte. Cela a été notre première rencontre. A cette époque-là, il y avait deux stars féminines internationales, Brigitte et Romy, et j'avais la chance de travailler avec.

Votre premier film avec Brigitte date de 1961 et pourtant vous avez, paraît-il, hésité à le tourner...
J'étais au début de ma carrière et je vois mal comment j'aurais pu hésiter à l'idée de tourner face à Bardot. Il y a peut-être eu des problèmes de dates en raison d'un autre film, mais j'étais totalement enchanté de me retrouver face à Brigitte. Nous étions en costume moyenâgeux et nous disions un dialogue de Jacques Prévert avant de mourir ensemble, enlacés, dans les eaux d'une rivière. Nous ne pouvions mieux démarrer.

Quels souvenirs gardez-vous de votre première rencontre ?
J'étais ce que j'étais, mais je n'étais pas Bardot. Bardot, c'était la France dans le monde, un rayonnement et une beauté extraordinaires. J'étais bluffé et ébloui. Tourner avec Bardot, à l'orée des années soixante, ce n'était pas n'importe quoi. Je la trouvais sublime.

Pourquoi avec votre physique, votre allure et votre statut à tous deux, a-t-il fallu attendre sept années pour qu'une production ait l'idée de vous réunir à nouveau ? N'y a t-il pas eu d'autres projets de vous mettre ensemble à l'affiche ?
En fait, je crois qu'il a toujours eu un problème avec Brigitte, dans la mesure où nous avons, à un an près, le même âge. Et, dans le cinéma français de l'époque, les règles étaient que les partenaires masculins se devaient d'afficher un peu plus de bouteille que leurs partenaires féminines. Sans même penser à Curd Jurgens ou à Jean Gabin, on mettait alors face à Brigitte Louis Jourdan, Henri Vidal ou Raymond Pellegrin. Je pense donc que, aux yeux des producteurs, je devais ne pas paraître assez mûr pour former un couple plausible avec elle. Peut-être trouvaient-ils que je passais plus facilement pour son frère que pour son mec. Je crois que c'est cela mais je n'en suis pas sûr car, effectivement, nous n'avons pas reçu de projet commun. Jamais. Ce n'est pas que nous les ayons refusés. Nous n'en avons tout simplement pas reçu. Ce qui est dommage car j'aurais été ravi de tourner avec Brigitte, et je ne pense pas qu'elle aurait manifesté de réticence à l'idée de travailler avec moi.

Vous avez failli, dans Viva Maria!, tenir le rôle du héros, Florès, qui, finalement, échut à George Hamilton...
Oui. Au début, il avait été question que je sois le partenaire de Jeanne et de Brigitte et puis, ensuite, pour des raisons de coproduction, j'ai été débarqué de l'affaire a été choisi le comédien américain George Hamilton. Cela assurait un rayonnement international au film.

Vous êtiez allé, à l'époque, retrouver l'équipe sur le plateau. Ce n'était donc pas pour tourner dans le film...
Moi, au même moment, j'étais en vacances au Mexique, avec ma femme et mon fils, à Cuernavaca, et j'ai voulu aller voir Brigitte et Jeanne qui tournaient ensemble, quasiment dans la maison d'en face. Les voir toutes les deux réunies étaient épatant.

Puis vous avez retrouvé Brigtte pour tourner le sketch de Louis Malle des Histoires extraordinaires, avec Brigitte en perruque noire et fumant le cigarillo ?
Pendant ce tournage, je me suis vraiment régalé avec elle. J'ai adoré tourner cette histoire, forte et violente, avec Brigitte. C'était formidable, ce film. Mais je resterais toujours sur ma faim de ne pas avoir tourné un vrai long bon film avec elle. J'aurais aimé qu'on se batte, qu'on se déchire, qu'on crève d'amour. Qu'on fasse vraiment notre métier d'acteurs.

J'ai vaguement entendu dire que vous aviez, paraît-il, été pressenti ou espéré pour L'Ours et la Poupée. Sans succès. Il n'y a donc jamais eu un autre projet visant à vous réunir ?
Jamais, aucun autre. Jamais.

Vous êtes ensuite restés amis tout au long de votre vie ?
Oui, vraiment. Ce qui est extraordinaire, c'est que nous nous aimions si fortement sans jamais avoir eu quoi que ce soit ensemble. Ca, c'est l'amour vrai. Il n'y a, en effet, jamais rien eu entre Brigitte et moi.

Mais, si je peux poser la question, pourquoi ? Vous étiez, tous deux, beaux à croquer et il y a bien des moments où la relation, disons une relation sentimentale ou sexuelle, aurait été possible...
Eh bien, non ! Bien sûr que cela aurait été possible. Cela aurait pu se faire. Brigitte a eu sa vie, ses aventures. J'ai eu ma vie, et mes aventures, mais nos amours ne se sont jamais croisées. Jamais rien, je vous dis. Mais si cela s'était fait, nous n'aurions pas aujourd'hui, les rapports que nous avons.

Quel est, précisément, le genre de rapports que vous avez ?
Je ne la vois pas aussi souvent que je le voudrais. Mais nous nous parlons souvent au téléphone. Je partage évidemment sa passion pour les animaux que j'adore moi aussi et je l'aide comme je peux. Et je pense très sincèrement que si Brigitte n'avait pas cet amour des animaux, elle ne serait plus là depuis longtemps. Elle continue à me fasciner et elle ne fascine pas que moi. Elle est d'une intelligence rare, elle me bouleverse et elle m'émeut. Je l'aime, je l'aime, je l'aime.

Jean-Paul Belmondo :

Brigitte a démarré dans le métier, du moins au cinéma, un peu avant vous. Vous souvenez-vous de ses débuts, de son irruption et de la première impression qu'elle vous fit ? Sur un écran ? Dans la vie ?
Elle m'a tout de suite plu. Nous seulement elle était vraiment très belle, mais, en plus, elle avait beaucoup de charme et de personnalité. Elle avait de la féminité jusqu'au bout des doigts. C'était la plus belle. Elle l'est toujours.

De quand date votre première rencontre ? Soirée ? Séance photo ? Festival ?
Cette première rencontre a eu lieu en studios, à la séance photos des essais de La Vérité.

Etiez-vous fébrile lors des essais de La Vérité ? Regrettez-vous de n'avoir, finalement, pas eu le rôle ?
Je n'étais pas du tout fébrile. Elle était très aimable et savait mettre les personnes à l'aise. Je n'ai pas regretté de ne pas avoir eu ce rôle, car il m'aurait fallu, à cette occasion, diriger un orchestre et ça, je ne le sentais pas. Sami Frey m'a remplacé. Il était très bien. Je n'ai donc eu aucun regret.

Quels souvenirs gardez-vous de cette séance d'essais ?
J'en garde un souvenir merveilleux. Je lui pelotais tendrement les seins. C'était un véritable rêve devenu réalité.

Savez-vous si, par la suite, d'autres projets, lesquels, ont failli vous réunir à l'écran et n'ont pas abouti ?
Aucun projet ne nous a été proposé. Je n'ai plus eu la moindre relation professionnelle avec elle. Je n'ai conservé que des relations amicales.

Pourquoi aucun producteur n'a-t-il pensé à vous réunir dans un film ?
Demandez-leur. Pour ma part, j'aurais été ravi de faire un film avec elle.

Que pensez-vous de la décision de Brigitte d'arrêter le cinéma ? Et de son combat en faveur de la cause animale ?
Elle était seule juge. Son combat pour la cause animale est un combat que je soutiens personnellement. C'est par sa fondation que j'ai eu mon chien Corail qui ne me quitte jamais. Je considère que le combat qu'elle mène pour tous les animaux est très généreux et très utile.

Brigitte ne manque d'ailleurs jamais une occasion de préciser que vous avez toujours aidé sa fondation, dont vous faites partie. Elle dit aussi beaucoup de bien de vous, de votre carrière et de votre personne. Pourquoi, selon vous ?
Je suis très flatté que Brigitte Bardot parle de moi. Etre reconnu par Brigitte Bardot est très flatteur.

VGE :

Vous souvenez-vous de votre première rencontre avec Brigitte Bardot ?
A la fin des années soixante, il y avait deux Français et seulement deux, qui étaient connus dans le monde entier. Charles de Gaulle et Brigitte Bardot. Cela, depuis ne s'est jamais reproduit. Et il ne faut l'oublier. A cette époque, j'allais skier à Courchevel et Brigitte, elle, allait skier à Méribel. Et ce n'est en rien offenser ses qualités sportives que de dire qu'elle n'était pas une grande skieuse. Elle se tenait difficilement debout et, même à l'arrêt, elle dégringolait plus souvent qu'à son tour, se retrouvant dans la neige. J'étais avec mon épouse. Nous nous sommes rencontrés et je l'ai trouvée adorable.

Connaissiez-vous sa carrière cinématographique ?
Pas très bien, même si, évidemment, je savais parfaitement qui elle était. J'avais vu, avec grand plaisir, plusieurs de ses films, notamment ceux de Roger Vadim, où elle affichait une belle personnalité, mais ma curiosité me portait plus vers elle que vers sa carrière. J'étais admiratif de son personnage de jeune bourgeoise française devenue une beauté mondiale, éblouissante de naturel. Je la trouvais très agréable à l'écran, au long de films qui me paraissaient plus chargés de mettre en valeur sa personne que de lui faire jouer des rôles dramatiques.

Aviez-vous organisé des projections de ses films à l'Elysée ?
Je ne l'ai jamais fait. Lorsque j'ai rencontré Brigitte, j'étais ministre des Finances. Je suis devenu président de la République en 1974 et Brigitte avait arrêté le cinéma en 1973. A partir de cette date, il n'y eut plus de nouveaux films de Bardot. Existait une salle de cinéma à l'Elysée, dans les sous-sols, construite par le président Pompidou, mais je ne m'en suis jamais servi. Pour aucun film.

Vous êtes-vous souvent fréquentés ?
Non. Pas assez. En tous cas, moins que je ne l'aurais souhaité. Je lui ai rendu visite, à plusieurs reprises, à Saint-Tropez, à La Madrague, et à Paris, avenue Paul Doumer. Nous échangions des idées, parlions de beaucoup de choses. Et c'était toujours amusant et intéressant.

Lorsque VGE a rencontré BB pour la première fois, lequel des deux était le plus impressionné ?
A mon avis, Brigitte ne l'était nullement. Elle paraissait extrêmement naturelle. Je me souviens de l'avoir vue à cette réception organisée par le Général et Mme de Gaulle à l'Elysée, à l'instigation d'André Malraux. Elle réunissait beaucoup de personnalités du monde du spectacle, d'acteurs et d'actrices, et c'était assurément moi qui était le plus impressionné.

En 1974 et en 1981, lorsque vous vous êtes présenté à l'élection présidentielle, Brigitte a pris clairement position pour vous, s'affichant dans les rues de Saint-Tropez, avec des tee-shirts et des stickers à votre nom...
Brigitte appartenait, de par sa naissance, sa famille et ses idées, à la famille libérale de la société française. Elle était dotée d'une culture que je qualifierais de libérale, donc de traditionnelle et d'ouverte. Et personne ne peut lui reprocher d'avoir affirmé ses opinions en manifestant sa façon d'être. Brigitte a toujours agi comme elle en a eu envie.

Brigitte Bardot dit toujours grand bien de vous. A votre avis, pourquoi ?
Nous sommes des amis de coeur. Nos relations ont toujours été dans le registre d'une grande affection et d'une profonde liberté de ton. Je pense que nos attitudes sont voisines, ce sont celles de Français classiques ouverts aux changements et ayant le goût de l'évolution et l'amour de la liberté. En fait, nous étions sur la même partition. Je dis moi aussi beaucoup de bien d'elle.

L'avez-vous aidée, dans le cadre de vos fonctions présidentielles, lors de ses combats en faveur du monde animal ?
Oui. Je me souviens d'elle venant, notamment, me voir pour me demander de l'aider dans sa lutte contre le massacre des bébés phoques qui est une honte abominable. Ces visions de sang souillant la neige restent horribles et je me souviens d'être intervenu, en autres, auprès du secrétaire général des Nations unies en faveur d'un entretien avec Brigitte.

Sylvie Vartan :

Quels souvenirs avez-vous de la gloire de Brigitte Bardot ? Quand et comment l'avez-vous remarquée ?
J'aurais eu du mal à ne pas remarquer Brigitte Bardot qui, à l'époque, était dans toutes les revues. Où elle m'attirait l'oeil avec ses tenues. J'allais encore à l'école et je rêvais, comme elle, d'une robe vichy. Ma mère, suite à mes demandes réitérées, m'en a donc fait faire une, superbe, orange et blanc, avec une grosse ceinture, que j'arborais fièrement. Je comprenais que BB, c'était bien, mais je me souviens surtout qu'elle défrayait tant et tant la chronique je n'avais pas le droitr d'aller voir ses films au cinéma. Pour moi, elle fut d'abord une belle image, omniprésente, dans les magazines.

Quand l'avez-vue pour la toute première fois ?
La première fois que j'ai vu Brigitte sur un écran, c'est dans le film En cas de malheur et je me souviens l'avoir, alors, trouvée sublime et plus encore. Comme tout le monde, j'adorais sa beauté merveilleuse et sa grâce incroyable. J'avais découvert qu'elle avait été danseuse et j'admirais sa façon de bouger comme un chat.

Y'a-t-il des choses que vous lui avez, d'emblée, empruntées ou piquées ?
Oui. Ses vêtements. Lorsque j'ai commencé à chanter, je me suis fait habiller par Arlette Nasta. Et dans le film Patate, j'ai utilisé les mêmes couturiers qu'elle, à savoir la maison Réal. Elle portait des vêtements très jolis qu'on aurait dit cousus sur elle. Elle arborait des pulls formidables. Je n'ai pas oublié les tee-shirts rayés avec petits boutons dont elle avait lancé la mode. Brigitte était toujours très très bien habillée. Comme dans un rêve.

De quand date la première vraie rencontre ?
Elle date de l'hiver 65-66. Je me trouvais en vacances à Méribel, dans les Alpes, pendant les vacances de Noël. J'étais alors enceinte de mon fils David et je ne pouvais donc skier. Brigitte y était aussi en vacances et elle ne skiait, elle non plus, pas beaucoup. Nous avons sympathisé et nous passions nos soirées à jouer aux cartes et aux ambassadeurs. Nous sommes mêmes devenues assez amies.

Au point de faire des photos ensembles...
Oui, en mai ou juin 1967, à l'instigation de mon ami Jean-Marie Périer, je suis partie retrouver Brigitte qui se trouvait en Italie dans une des maisons de Gunter Sachs, son mari. Je ne me souviens plus exactement de l'endroit où se trouvait cette demeure, à Rome ou a Florence, mais je n'ai pas oublié la belle campagne ensoleillée, ni le plaisir que j'ai éprouvé à effectuer cette séance avec Brigitte. Elle s'est déroulée admirablement. Brigitte était une fille délicieuse, enjouée et joyeuse avec laquelle rien n'était compliqué. Elle s'amusait de tout, ne compliquait rien et se montrait constamment simple et exquise. J'en garde un souvenir charmant.

Etes-vous restées en bonnes relations ? Quand et comment vous êtes-vous revues ?
Même si nous ne vous voyions pas souvent, en raison de ses tournages et de mes tournées, nous restions très proches. Je me souviens en tout cas qu'elle fut l'une des premières à venir, après mon accident, écouter mon spectacle à l'Olympia, me voir dans ma loge et assister au dîner qui suivit. Elle fut chaleureuse et affectueuse et je l'avais trouvée adorable au-delà de tout.

Au fil du temps, qu'avez-vous pensé de son combat ?
Son combat, je l'ai, depuis le début, soutenu et partagé. J'avais été très émue de voir cette fille ravissante qui se montrait si bouleversante en prenant le parti des animaux martyrisés et en criant qu'il ne fallait plus les traiter comme des objets ou des marchandises. C'est une cause que je soutiens et qui me lie à Brigitte. Et j'ajoute que j'avais été très heureuse d'apprendre que mon frère Eddie, aujourd'hui disparu, avait été choisi afin de composer la si jolie musique du si joli film que reste L'Ours et la Poupée.

Wow! Non mais ou est ce que tu as trouvé ca????
MOn dieu! Merci d'avoir tapé tous ces textes bbada!

Dans le superbe livre "BARDOT LA LEGENDE" et j'ai eu la chance de me le faire offrir
Je voulais partager

Merci beaucoup beaucoup beaucoup !!!!!!

Enorme! Merci!
Je peux pas m'empecher de lire l'interview de VGE avec sa voix (dans ma tête!)

wow merci c'est un tres beau cado!!!!!!!


voici un petit test du ELLE je crois qu'il n'a pas été postée!

http://www.elle.fr/elle/People/Tests-et-quiz/Quiz/Que-connaissez-vous-de-Brigitte-Bardot

Gia a écrit:

Enorme! Merci!
Je peux pas m'empecher de lire l'interview de VGE avec sa voix (dans ma tête!)

Oui moi c'est pareil

En tout cas, un grand merci bbamiedesanimaux !!

J'aime beaucoup ton avatar BBada ! Très Warholien !

C'est grâce à Gia et au super site qu'elle nous a conseillée

C'est quoi ce site??

bubble gum a écrit:

C'est quoi ce site??

Ici

je vais voir ça, merci

En tous cas merci pour ces interviews !

j'ai créer cette nouvelle compil tjrs BB dans la danse! cette fois ci danse classique! avec un ballet de Lully "les folies d'espagnes" et puis un converto pour violon de Tchaikovsky